Les femmes sont les premières victimes de la faim, car elles accordent la priorité aux hommes et aux enfants à l’heure des repas. Pourtant, ce sont elles qui contribuent largement à réduire la faim. Les femmes ont besoin d’un accès pour cultiver, d’une formation pour participer à la vie active et d’un droit à la parole. La parole est donnée à Daniele Polini, expert en matière de genre, et à Sneha Giridhari de SWISSAID Inde.